Faire un geste pour l’environnement

L’idée à garder en tête quand il s’agit de protection environnementale est que sans un environnement favorable pour subvenir aux besoins d’une espèce, sa pérennité est remise en question. Il en est de même pour l’homme. En effet, l’environnement constitue le principal fournisseur de l’homme, en termes de nourriture et d’eau potable, mais aussi d’autres produits qui lui est vital. La nature procure les conditions nécessaires à notre développement ainsi qu’à notre survie (oxygène, couche d’ozone, gaz utile, les plantes médicinales, électricité, etc.). De ce fait, faire un geste pour l’environnement, c’est essayer de préserver la qualité de ce dernier. Et il faut savoir que la responsabilité appartient à chacun de nous, et il ne faut pas attendre des responsables haut placés pour se lancer dans les actions pour l’environnement.

Protéger l’environnement, une action à la portée de tous

Plusieurs grandes campagnes de sensibilisation pour la préservation de l’environnement sont actuellement mises en place un peu partout dans le monde afin d’inciter la population à protéger son environnement. Cependant, il n’est pas obligatoire d’avoir un financement énorme pour agir contre la dégradation de ce dernier. À travers des gestes simples au quotidien, nous pouvons essayer de faire pencher la balance dans l’autre sens. La première chose à faire est de penser à limiter la consommation d’eau. En effet, on ne le dit jamais assez, mais le bain doit rester occasionnel pour ne pas gaspiller l’eau. Il en est de même pour le lavage de voiture. Ensuite, des petites actions faisables au quotidien doivent aussi permettre de réduire le gaspillage de l’électricité. Ce n’est pas qu’une question d’économie, mais éteindre la lumière en sortant d’une pièce, ou préférer des ampoules recyclables contribue déjà à réduire notre consommation en électricité. Après, le concept « donné une deuxième vie aux produits » est devenu une vraie tendance écologique. Il s’agit en autre, du principe du recyclage. Adopter cet état d’esprit permet aussi de diffuser les bonnes pratiques aux enfants qui vont finir par en faire de même. Et pour terminer, on peut aussi diminuer l’utilisation des voitures ou tout autre moyen de transport qui fonctionne à l’énergie thermique. Un peu de marche ou faire les trajets en vélo est bon pour la santé, mais aussi pour l’environnement. On peut aussi virer vers l’utilisation de moyen plus écologique comme les voitures électriques.

La protection de l’environnement à grande envergure

La protection de l’environnement est souvent considérée comme frein au développement économique d’un pays. La première responsabilité incombe donc, au gouvernement pour éviter cette pensée négative. De ce fait, pour avancer dans ce sens, il est essentiel de trouver une solution afin d’inclure le volet environnement dans le processus de développement. Ensuite, agir afin de l’intégrer dans le développement durable du pays et des entreprises. Puis, les grandes entreprises doivent également y mettre des leurs, notamment en renforçant les projets en matière de RSE ou de la Responsabilité Sociétale de l’Entreprise. Dans ce cas, chaque projet devrait-être mis à l’étude avant toute validation, surtout dans les pays en voie de développement, où beaucoup d’actions ne sont pas réglementées. Enfin, il faut renforcer les actions déjà connues de tous comme la reforestation, l’exploitation durable des forêts, l’amélioration de la fertilité des sols, l’optimisation de la production dans les zones arides, etc.

L’extermination par les insecticides

Cette abeille se choisit naturellement un abri pour son essaim : dans les troncs d’arbre creux, dans les anfractuosités de rochers ou dans d’autres endroits naturellement protégés. Mais pour nourrir l’essaim, elle butine jusqu’à des kilomètres à la ronde où elle coexiste avec divers autres insectes. Parmi ces insectes, des espèces grégaires destructrices de végétation sont combattues vigoureusement avec des produits chimiques à forte résilience. Hélas, le traitement ne fait pas de distinction et les abeilles en font les frais, aussi bien les ouvrières qui subissent directement les pulvérisations que celles qui transportent les gouttelettes de produit déposées sur les fleurs avec le pollen dans la ruche. Celles qui ne meurent pas directement contaminent ainsi les larves et le miel.

La maladie du varroa

Par ailleurs, l’abeille autochtone malgache est une variété caractérisée par son endémicité. Elle est peu résistante face aux maladies qui déciment les ruches étrangères. Or, depuis quelques années, elle est en contact avec des abeilles étrangères introduites intempestivement et est désormais contaminée par le varroa, le « vampire de l’abeille ». Elle est d’autant plus sensible à cette maladie qu’elle est affaiblie par le traitement insecticide ci-dessus.

Des impacts économiques

Il s’ensuit une réduction importante de la production de miel dans les régions d’infestation de criquets. La réduction de la quantité des abeilles pollinisatrices limite ipso facto la fécondation des plantes et la production agricole.
Ironie du sort, l’embargo sur le miel malgache est levé quand les facteurs de production sont dans ce contexte défavorable. L’exportation peine à atteindre une cinquantaine de tonnes après avoir été à plusieurs milliers dans les années cinquante.
Une opportunité économique est en train de refaire péniblement surface sans qu’une solution pérenne ne soit pour le moment évidente.

Les types de déchets médicaux des tatoueurs

De manière générale, tous les déchets produits par l’activité du tatoueur ont été reconnus comme dangereux pour la santé publique. En tant que tatoueur professionnel, vous devez impérativement les connaître pour les gérer efficacement. Dans la catégorie dechet tatoueur, les éléments suivants sont considérés comme déchets médicaux :

• Les lancettes et rasoirs : utilisés pour préparer la peau, ces derniers peuvent être contaminés par le sang
• Les aiguilles usagées : fines et pointues, ces dernières peuvent causer des blessures et peuvent également être contaminées par le sang
• Les gants jetables : le tatoueur doit changer de gants à chaque nouveau client
• Les flacons d’encre usagés : les tatoueurs utilisent des encres spéciales dans leur travail. Les flacons de ces dernières peuvent contenir des résidus de fluides corporels comme le sang.
• Les compresses souillées : elles sont utilisées pour nettoyer la zone tatouée, ainsi elles peuvent contenir du sang.

La collecte des déchets médicaux des tatoueurs

La collecte des déchets s’inscrit comme une action écologique visant à protéger l’environnement, elle doit ainsi respecter les règlementations locales et nationales en la matière. En premier lieu, vous devez collecter vos déchets médicaux au fur et à mesure que vous les produisez. Ainsi, vous devez disposer de conteneurs conçus spécialement pour cela comme des sacs à déchets médicaux ou des boîtes à aiguilles. Vous devez également former votre personnel afin qu’il puisse distinguer les déchets médicaux des déchets ordinaires et procéder correctement au tri.

Pour trier les déchets, les objets coupants doivent être placés dans des contenants pouvant résister aux piqûres. Quant aux déchets souillés comme les gants, il faut les placer dans des sacs à déchets médicaux distincts.
Vous devez ensuite les stocker dans des conteneurs de stockage étanches et conformes aux réglementations puis les mettre dans un endroit inaccessible au public.

La dernière étape est l’élimination. Elle est effectuée par une entreprise spécialisée dans la gestion des déchets médicaux. En effet, l’élimination nécessite l’utilisation d’équipements spéciaux conformes aux réglementations.

Les bénéfices d’une telle formation

Les professionnels spécialisés dans le domaine du développement durable disposant des compétences nécessaires pour mettre en œuvre des solutions efficaces pour la préservation de l’environnement sont très recherchés. La formation en développement durable vient donc orienter les personnes souhaitant œuvrer dans ce domaine.

Aujourd’hui, de nombreux centres de formation, dont celui sur https://institut-superieur-environnement.com/, octroient des formations en développement durable.
Ces institutions mettent en place des programmes de formation en initial ou en alternance pour accéder à un bac +3 en commerce et marketing durables, bac +3 en Ecologie, Biodiversité et Gestion des espaces naturels, en bac +3 en Transition Ecologique et Droit de l’Environnement, etc. À vous de choisir le type de formation qui vous convient. Pour ceux qui ne peuvent pas se déplacer, sachez qu’il est également possible de suivre des formations en ligne via les MOOCs par exemple.

En suivant une formation en développement, vous pouvez mieux comprendre les enjeux dans ce domaine et pourrez apporter des lueurs de solutions. Elle permet de connaître les grands enjeux de notre époque et donne aux étudiants la faculté de créer un monde plus soucieux de la planète.

Pour qui est destinée la formation au développement durable ?

La formation au développement durable n’est pas uniquement réservée à une catégorie de personnes, elle reste ouverte à tout ce qui s’y intéresse. Que vous soyez étudiant bachelier, citoyen, salarié, dirigeant, le domaine du développement durable concerne tout le monde. Et c’est un secteur qui recrute. De plus, les métiers existants dans ce domaine évoluent afin de s’adapter et de prendre en compte les conséquences des actes de l’Homme sur la planète.

Faire la différence entre un produit écologique et un produit Bio

Un produit écologique est un produit dont l’impact environnemental est faible. Ce qui signifie que les étapes de son cycle de vie respectent l’environnement, que ce soit la fabrication, l’emballage, le transport, l’utilisation ou le recyclage. L’écologie peut concerner les produits alimentaires, les produits d’entretien et de nettoyage, etc. L’agriculture écologique prend en compte l’ensemble de l’écosystème pour créer un produit respectant un cycle de vie naturel. Un agriculteur écolo peut donc utiliser du compost provenant de déchets dans le processus de création.

Quant aux produits issus de l’agriculture Bio comme ceux vendus sur Jungle Grower, ils doivent porter la marque biologique européenne comme EKO ou le label Ecocert. Un produit Bio a été cultivé sans pesticides chimiques, sans engrais artificiel ni semences génétiquement modifiées. L’agriculture Bio peut concerner les produits alimentaires, pharmaceutiques ou les produits cosmétiques.

Les remèdes naturels

Près de la moitié des Français utilisent des produits et remèdes naturels pour se soigner. Phytothérapie, homéopathie, aromathérapie ou apithérapie, autant de domaines qui peuvent vous permettre de vous soigner sans devoir utiliser des médicaments. Il existe plusieurs types de remèdes naturels, et les feuilles de chanvre en font partie. Le Cannabidiol est connu pour ses propriétés apaisantes et ses effets bénéfiques sur la santé, que vous soyez malade ou non, car il permet d’avoir une bonne santé. Les feuilles de chanvre peuvent se consommer sous la forme de produits dérivés de CBD comme une huile essentielle.

Les graines de chanvre sont efficaces pour avoir un bon système immunitaire, ainsi vous serez plus à même d’affronter les maladies graves qui risquent de vous toucher. Car avec leur forte teneur en oméga 3 et en oméga 6, elles renforcent votre immunité et vous offrent l’énergie dont vous avez besoin dans la journée.

Pour utiliser les feuilles de chanvre en tisane, il suffit de verser quelques feuilles dans de l’eau frémissante. L’infusion dure 5 à 10 minutes selon les plantes. Vous devez infuser à couvert pour que les bienfaits du produit ne se dispersent pas. Ensuite, vous devez le filtrer le thé et boire. Les feuilles de chanvre peuvent également être consommées crues, c’est d’ailleurs ainsi qu’elles apportent le maximum de nutriments. Pour de jeunes feuilles, vous pouvez les manger en salade. Rien ne vous empêche de les utiliser en assaisonnement par exemple.

Toujours des produits made in France

Petit conseil, quand vous choisissez des produits écolo et Bio, orientez votre choix vers des produits made in France. La première raison est de connaître la source des produits que vous consommez. Les produits de fabrication française respectent aussi un processus de fabrication réglementée. Vous pouvez ainsi être sûr d’utiliser un produit de qualité et serez rassuré. De plus, le made in France n’est pas forcément cher, ce sont des produits avec un meilleur rapport qualité prix.

Les associations sont-elles vraiment nécessaires ?

Leurs tâches ne sont certes pas faciles et il leur faut bien du courage et de la persévérance pour se faire entendre et encore plus pour faire réagir les consommateurs et les gouvernements. Mais elles continuent d’oeuvrer de manière concrète en mettant au point et en place des projets qui portent du fruit et qui commencent petit à petit à réveiller les consciences. Le défi à relever est trop important, et très difficile également, mais fort heureusement, les personnes qui composent ces associations sont pleines de conviction que leurs actions atteindront leur but et que les citoyens finiront par suivre le mouvement. C’est leur attachement à l’environnement et leur confiance aux autres qui les motivent jour après jour à continuer leur lutte, ce qui n’est pas une panacée.

Quelques associations oeuvrant pour la protection de la nature et l’environnement

Parmi les associations connues pour leurs actions en faveur de la nature et l’environnement, il y a l’association CNIID ou Centre National d’Information Indépendante sur les Déchets. Il s’agit d’une association écologiste qui réalise une campagne production propre. Il y a aussi l’association Conso durable. Quelles sont ses actions ? C’est celle de donner les renseignements dont les consommateurs ont besoin en rapport avec les produits et/ou les services qui sont respectueux du développement durable. C’est sur leur site officiel, www.consodurable.fr où sont concentrés tous ces renseignements. L’association FRAPNA Drôme est aussi une association départementale qui est affiliée à FNE de la Drôme.

D’autres associations aux buts nobles

Il existe un grand nombre d’associations qui ont été créées uniquement pour protéger la nature et l’environnement, telle que France Nature Environnement, membre de FNE également, et dont les activités sont citées sur le site est www.fne.asso.fr. La Passiflore fait partie des associations travaillant dans le même objectif, elle est affiliée à France Nature Environnement. Elle s’est déjà engagée il y a 3 ans dans la prévention des déchets, et ses activités sont toutes d’intérêt écologique et dans l’objectif d’un développement durable, elle propose formation, informations, créations etc. Pour mieux s’informer sur ses missions, il faut aller sur son site : la.passiflore.free.fr.

Toute une brassée d’associations pour préserver notre environnement

Le site www.planete-nature.org est celui de Nicolas Hulot et de sa fondation, et qui relate toutes les actions menées et les projets pour la préservation de la nature et de l’environnement. Il est également intéressant de connaître la Maison de la consommation et de l’environnement (MCE) de Rennes, regroupant 10 associations constituées de consommateurs et de 4 associations d’environnement. Terre vivante, dont les démarches sont consultables sur le site www.terrevivante.org, est une association qui fait la promotion des modes de production et de vie qui respectent au mieux la santé et l’environnement.

Pourquoi réduire l’impact environnemental ?

Cette problématique est au cœur de tous les débats. Il est donc primordial d’améliorer l’impact environnemental des activités des petites entreprises et des artisans. En effet, certaines entreprises peuvent puiser une grande partie des ressources naturelles pour le fonctionnement ou la productivité de leur activité.

Ainsi, les réserves naturelles s’épuisent et cela entraîne la dégradation de l’environnement et cela à plusieurs niveaux comme l’extraction de matières premières, le rejet des déchets chimiques ou encore la pollution de l’eau et de l’air, et cette liste n’est pas exhaustive. Voilà pourquoi, avoir une stratégie de développement durable est indispensable pour une entreprise soucieuse de l’environnement. Cette dernière doit donc réduire sa consommation de ressources naturelles.

La rénovation énergétique, gage de l’engagement écolo d’un artisan

Un artisan qui s’engage à adopter une démarche écologique commence par changer sa manière de consommer les ressources énergétiques. Si votre installation électrique n’est pas encore écolo, vous pouvez demander à un professionnel en électricité comme Brucelec pour renouveler votre installation électrique. C’est une petite entreprise spécialisée dans la réalisation de travaux de rénovation électrique dans la ville de Bordeaux.

A votre demande, elle peut réaliser la mise en conformité de votre installation électrique. Vous pouvez demander un devis sur leur site internet. Brucelec, un Electricien à Bordeaux, est également très engagé dans la réduction de son impact environnemental. Pour ses déplacements dans ville de Bordeaux par exemple, son équipe utilise un vélo-cargo afin de réduire son empreinte carbone.

Actuellement, l’État octroie des aides pour inciter les petites entreprises à faire une transition écologique. C’est l’ADEME ou Agence de la transition écologique qui intervient auprès de celles-ci pour les aider à améliorer leur utilisation de l’énergie, l’impact au niveau de l’atmosphère et la gestion des déchets. Cette agence dispose de nombreuses solutions pour permettre à une entreprise de financer son projet écologique.

La restructuration de l’organisation interne

Dans un souci environnemental, de nombreux artisans ont aujourd’hui restructuré leur organisation interne. Pour éviter l’épuisement des ressources naturelles, certaines ont décidé d’adopter une démarche RSE qui les incite à intégrer des préoccupations sociales, environnementales et économiques dans leur stratégie. Le service du RSE, s’il y en a, produit un rapport RSE pour évaluer l’impact positif ou négatif des activités réalisées.

Une entreprise écoresponsable peut également réutiliser les matières premières pour limiter au maximum les déchets ou encore recycler ses déchets. Le recyclage des déchets dépend des activités de l’entreprise, mais en général, tous les déchets sont recyclables.

L’éducation et la responsabilisation du personnel

Les petites entreprises actuelles informent et forment leur personnel sur l’importance de la réduction de l’empreinte carbone. Leurs équipes doivent être conscientes des actions et des pratiques de l’entreprise. Pour informer son personnel, cette dernière met en place des panneaux d’informations, organisent des réunions ou même des séminaires de sensibilisation.

La certification ISO a également son importance dans la transition écologique d’une entreprise. C’est une procédure par laquelle une tierce partie assure par écrit que votre produit ou votre service est conforme aux exigences réglementaires de la certification ISO. Il existe notamment de nombreux types de certifications ISO qui peuvent concerner la qualité, le respect de l’environnement, etc.

A propos du conservatoire

Il s’agit d’un établissement public français dont la création remonte en 1975. Le Conservatoire du littoral protège plus de 190.000 hectares répartis sur plusieurs centaines de sites (750 sites environ). Ce chiffre correspond à environ 1600 kilomètres de rivages maritimes. Il souhaite acquérir 1/3 du littoral français afin de mieux les protéger. Le Conservatoire du littoral veut en effet, protéger le littoral français contre les constructions ou tout autre projet qui lui enlèverait son côté naturel. De ce fait, l’établissement est autorisé à mettre la main sur le domaine publique maritime et les terrains se trouvant sur le littoral. Il peut aussi acquérir des zones classées humides dans les régions côtières, et ce, depuis l’année 2005. En gros, la protection doit souvent passer par l’achat de terrains ou autres moyens légaux d’acquisition financière : préemption, expropriation, etc. Après l’acquisition, la gestion est confiée à des collectivités locales ou autres entités compétentes (associations, organisations, etc.).

Autres informations sur le Conservatoire

Parmi les missions du Conservatoire du littoral, on peut citer les suivantes :
• Animation et suivi des sites en vue de les valoriser après leur acquisition et leur préservation.
• Protection du patrimoine culturel du littoral comprenant les forts, les phares, etc.
• Réalise des projets d’aménagement si nécessaire.
Les objectifs principaux du Conservatoire sont de préserver le littoral et les milieux naturels qui sont menacés, ou tout simplement parce qu’ils se distinguent des autres. Il accueille le public et il se veut être un acteur majeur du développement durable. Pour atteindre ses objectifs et dans l’accomplissement de ses missions, le conservatoire collabore étroitement avec des partenaires territoriaux.

Le Bachelor environnement et développement durable : quelles formations pour l’obtenir ?

Quelles formations pour obtenir un bachelor environnement ? En fait, vous avez un large choix de formation pour travailler dans le domaine environnemental. Pour obtenir un Bachelor environnement et développement durable, il faut suivre soit une formation initiale, soit une formation en alternance. Un Bac+2 en génie civil, génie thermique ou encore en développement durable permet aussi d’intégrer ce Bachelor.

Il faut bien choisir l’établissement où vous allez suivre votre formation. Il est conseillé d’intégrer une école d’ingénieurs et d’ingénierie. Vous devez ensuite choisir une école apte à délivrer un diplôme reconnu par l’État si vous voulez que votre diplôme soit accepté quand vous allez rejoindre le marché du travail. Sachez-le, le domaine de l’environnement et du développement durable est un secteur qui recrute.

Formation Bachelor environnement et développement durable : les programmes à suivre

Pendant la première et la deuxième année, vous devez suivre un programme classique comprenant des cours de droit, de langues, etc. Vous allez aussi suivre un programme comprenant des matières comme l’économie collaborative, le climat et l’entreprise, l’économie de l’environnement, les énergies renouvelables, etc.

Pendant la troisième année de votre cursus, vous allez apprendre des matières comme la biodiversité et l’écosystème, les labels/normes/certifications, le social Business Model, la finance responsable, le contrôle de gestion, les enjeux énergétiques, etc. Vous pouvez aussi suivre la formation en optant pour un contrat d’apprentissage ou de professionnalisation.

Les débouchés après un Bachelor environnement et développement durable

Après le cursus de 3 ans pour le Bachelor environnement et développement durable, vous pouvez soit continuer jusqu’au Master, soit rejoindre directement le monde du travail.

Les débouchés sans poursuite d’études

Après le Bachelor environnement et développement durable, la plupart des jeunes diplômés trouvent un emploi rapidement. Avec ce Bachelor, vous pouvez travailler au sein :

• D’un bureau d’études
• D’une société de conseils
• D’une entreprise éco-industrielle
• D’un organisme public ou associatif
• D’une collectivité territoriale

Vous pouvez travailler comme animateur ou responsable QHSE ou RSE. Vous pouvez aussi travailler comme conseiller en économie d’énergie, technicien environnement ou territorial, chargé de mission sensibilisation au tri, etc.

Les débouchés après une poursuite d’étude jusqu’au Master

Si vous continuez vos études jusqu’à l’obtention d’un Bac+5, vous aurez un Master (Master management de l’environnement, Master Sciences de l’environnement, Master RSE, etc.). Vous pouvez travailler comme :

• Garde-pêche/garde-chasse/garde littoral
• Naturaliste
• Technicien de rivière/technicien des travaux des eaux et forêts
• Animateur nature

Après quelques années d’expérience, vous pourrez évoluer au poste d’exploitant d’unité de traitement des eaux, d’exploitant d’unité de traitement, de chef de projets environnementaux, etc.

Les recrutements dans le secteur de l’environnement et du développement durable

Le secteur de l’environnement et du développement durable recrute et recrutera pendant de longues années encore. De très nombreuses entreprises et industries ont besoin de professionnels avec des compétences spécifiques dans ce secteur. La santé, les transports, le bâtiment et d’autres encore font aussi appel à des experts en environnement.

Des secteurs de l’économie recourent à ces spécialistes, le tourisme, le marketing, les assurances etc. Tout cela signifie que pour trouver un emploi sûr et très rapidement, optez pour une formation en environnement. Optez pour un master management de l’environnement et du développement durable. Un bachelor ou un autre diplôme dans ce secteur vous ouvrira des portes, saisissez cette opportunité.

Les métiers de l’environnement et du développement durable

La liste des métiers de l’environnement et du développement durable est longue et elle n’est pas près de raccourcir. Dans la prévention et le traitement des pollutions et des risques, il existe différents métiers. Par exemple les métiers de biologiste, d’ingénieur du contrôle du bruit, de directeur environnement, de biochimiste, d’écotoxicologue.

Il y a aussi les métiers d’ingénieur fluides, énergies, réseaux et environnement etc. En gestion de déchets, il y a les métiers de Chargé de mission valorisation agricole et d’ingénieur en traitement des déchets. Dans le domaine de la gestion de l’eau, citons les métiers d’hydraulicien, d’hydrogéologue et d’océanologue.

Parlons également des métiers de goûteur d’eau, de responsable de réseaux d’eau potable et d’hydrobiologiste. Dans le domaine de la protection de la nature, on peut exercer les métiers de garde-chasse, d’élagueur, d’agent technique forestier. La liste comprend aussi les métiers de technicien de rivière, d’ingénieur des travaux des eaux et forêts, d’expert naturaliste etc.