Les moteurs de recherche du web

Cherchez sur les moteurs de recherche sur le Web un annuaire magasins bio. Ciblez l’annuaire qui propose des recherches basées sur la localisation et par catégories (type d’établissement). Les annuaires en ligne spécialisés dans les magasins bios et 0 déchet sont une excellente ressource pour découvrir des établissements peu connus. En plus, puisqu’ils sont ciblés, ils donnent des renseignements plus précis que des plateformes générales comme Google Maps. Faites des recherches préliminaires sur l’annuaire lui-même pour avoir une idée de sa crédibilité. Certains annuaires consacrés aux magasins bios et aux épiceries de vrac sont bien connus et respectés dans leur domaine. Par ailleurs, vérifiez si l’annuaire est régulièrement mis à jour et si les établissements listés sont toujours en activité. En effet, les informations sur un commerce sont rapidement obsolètes, surtout d’une saison à l’autre.

La fiabilité des informations

Certains annuaires spécialisés conditionnent l’inscription des établissements au respect de critères stricts. Cette exigence augmente la fiabilité des informations qu’ils fournissent aux internautes. D’autres permettent à tous les établissements de s’inscrire chez eux. De ce fait, leur base de données peut inclure des entreprises peu fiables. Si l’annuaire permet aux utilisateurs de laisser des avis ou des commentaires, vous pourrez évaluer un établissement bien que ces avis soient des opinions individuelles. Des annuaires indiquent leurs sources d’informations : si elles exploitent des sources officielles, elles méritent que vous lui accordiez votre confiance. Enfin, vérifiez toujours si les établissements répertoriés sont là en raison de partenariats payants ou de publicités. Le cas échéant, leur présentation risque de ne pas être entièrement neutre.

Commencez par vérifier l’état de la terre

La première chose à faire est de vérifier que votre terre est parfaitement fertile. Cela implique que vous devez déterminer la nature du terrain pour savoir si le projet peut se faire ou non. Notez alors qu’un sol noir est considéré comme étant une bonne terre. Par contre, vous devez prévoir une amélioration de la terre si elle est de couleur jaune ou orangé, mais aussi ocre. Cela peut par exemple nécessiter un paillage selon la situation.

Préparez le terrain pour votre projet

Vous n’êtes pas obligé d’avoir un immense espace dans le jardin pour faire un potager. Un petit terrain de 2 m² peut parfaitement vous suffire pour obtenir une bonne récolte à l’avenir. Mais, vous pouvez toujours en faire plus si vous le souhaitez. En tout cas, vous devez vous assurer que le sol possède des apports nutritifs 100 % naturels. Vous pouvez demander l’avis de vos proches ou d’un expert pour bien préparer le sol.

Pensez à bien fertiliser la terre

Vous devez revoir la fertilité de votre terrain pour réaliser un potager bio répondant à vos attentes. Il ne faut pas utiliser des engrais chimiques dans ce genre de situation. Il vaut mieux prioriser le compost que vous avez déjà préparé à l’avance. La réalisation d’un compost ne demande pas beaucoup de conditions. Il suffit de le mélanger en forme de fines couches avec la surface de la terre soulevée. Celle-ci peut être en forme de bandes puis mélanger de différentes manières jusqu’à obtenir une bonne homogénéité.

Choisissez bien vos plants

Prenez le temps de bien choisir vos plants comme les tomates à rendement précoces qui sont parfaitement bio. Il suffit de les planter en ligne parfaitement au fond de votre carré potager. Vous pouvez aussi ajouter des fleurs telles que les œillets d’Inde pour équilibrer votre potager. Ces fleurs repousseront les petits vers qui peuvent s’attaquer à vos tomates. En tout cas, il est important de pailler le sol tout en évitant d’agir aux pieds des semis. Pensez aussi à arroser votre potager de manière régulière.

Les initiatives possibles pour une banque en matière de développement durable

Les établissements financiers disposent d’une multitude d’initiatives pour contribuer au développement durable. Ils ont la capacité de soutenir des projets favorisant la transition écologique, tels que les énergies renouvelables, l’efficacité énergétique ou la mobilité durable. Ces initiatives participent à la réduction des émissions de gaz à effet de serre et à la préservation des ressources naturelles. Selon l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie, les actions de financement durable des banques sont essentielles pour atteindre les objectifs de l’Accord de Paris sur le climat
Les banques peuvent offrir des produits financiers verts, comme des prêts ou des fonds d’investissement durables. Ces instruments permettent à leurs clients de participer activement à la transition écologique en investissant de façon responsable.
Enfin, ces institutions ont la possibilité d’intégrer les critères ESG dans leurs décisions d’investissement. Autrement dit, elles évaluent l’impact environnemental et social des entreprises dans lesquelles elles investissent, favorisant ainsi des pratiques d’entreprise plus durables et responsables.

Le Crédit Agricole d’Ile-de-France : un acteur engagé dans le développement durable

Le Crédit Agricole d’Ile-de-France est un exemple de banque qui s’engage activement dans le développement durable. Cette banque régionale a fait du développement durable une de ses priorités stratégiques. Elle finance de nombreux projets qui contribuent à la transition écologique en Ile-de-France. Ces projets vont de la construction de bâtiments à faible consommation énergétique à la promotion des énergies renouvelables.
Parmi ses offres, le Crédit Agricole d’Ile-de-France met à disposition de sa clientèle une sélection de solutions financières respectueuses de l’environnement. Ces instruments financiers offrent l’opportunité aux clients d’adopter une démarche d’investissement éthique et d’appuyer la transition écologique.

En outre, le Crédit Agricole d’Ile-de-France s’engage dans une démarche de responsabilité en intégrant les critères ESG au cœur de sa stratégie d’investissement. Ce choix délibéré permet à l’établissement de mesurer l’impact environnemental et social des entreprises dans lesquelles il place ses fonds. Il s’agit donc pour la banque d’une façon efficace de soutenir des pratiques commerciales plus respectueuses de l’environnement et socialement responsables, participant ainsi à la création d’une économie plus durable.

Les métiers de la transition écologique

L’écologie reste toujours au cœur des débats et le restera pour longtemps. En choisissant une formation en transition écologique sur ISE, vous vous assurez un avenir meilleur, loin du risque d’être au chômage. L’économie verte est une importante source permettant de dynamiser le marché de l’emploi. En 2020 par exemple, près de 142 000 emplois verts ont vu le jour. Cet engouement pour les métiers de la transition écologique est dû aux mesures que le gouvernement a prises pour lutter contre le dérèglement climatique.

La sensibilisation de la population sur l’importance de la protection de l’environnement constitue également une cause pour le développement des métiers de la transition écologique. Ainsi, le secteur de la transition écologique a besoin d’ingénieurs ou cadres techniques, d’ouvriers qualifiés et en particulier spécialisés dans l’industrie des énergies renouvelables.

Les métiers de l’informatique, des métiers prometteurs pour les prochaines années

Le secteur de l’informatique est en pleine expansion et cela depuis quelques années. De nombreux étudiants décident de se former en informatique pour devenir des architectes cloud computing, des développeurs back-end, web blockchain, data, DevOps, des data analyst ou data scientist ou encore des responsables de la sécurité des systèmes d’information.

Jusqu’en 2023, le nombre d’ingénieurs informatiques atteindra les 120 000. Or les besoins des entreprises et des recruteurs en professionnels de l’informatique vont augmenter et ce nombre ne suffira pas. On assiste actuellement à une digitalisation des modes de travail et de consommation, l’apparition de l’intelligence artificielle et l’accroissement de la cybercriminalité. Tout cela accroît considérablement la demande sur le marché de l’emploi informatique.

Au lieu de prendre un bain, prenez une douche

Pour économiser de l’eau potable au quotidien et pour réduire le temps passé dans la salle de bains, au lieu de prendre un bain, prenez une douche. Vous pouvez d’ailleurs économiser de l’eau en utilisant un pommeau de douche adapté. En effet, ce genre d’appareil révolutionnaire ne consomme que 6 litres d’eau par minute environ. Vous pouvez donc constater qu’en prenant un bain, vous aurez besoin d’au moins 100 litres d’eau, alors que si vous prenez une douche de 5 à 8 minutes, avec une douchette, vous n’aurez besoin que d’environ 40 litres d’eau.

Choisissez les bonnes installations dans les toilettes

Les toilettes sont certainement les pièces de la maison qui consomment le plus d’eau. Heureusement, il existe quelques moyens de réduire cette consommation d’eau au quotidien. Pour cela, vous pouvez par exemple remplacer la chasse d’eau par un modèle à deux boutons, dont l’un permet de chasser les urines avec une petite quantité d’eau, et l’autre permet d’éliminer les gros besoins avec une plus grande quantité d’eau. Vous pouvez également utiliser de l’eau de pluie dans les toilettes. Sinon, vous pouvez tout simplement adopter un système D qui consiste à baisser le volume de la chasse.

Réparez les fuites

Sachez qu’un robinet qui fuit, même à petite goutte, peut représenter une énorme perte d’environ 4 litres par heure, soit l’équivalent d’environ 200 € /an. De même, une chasse qui fuit peut vous faire perdre environ 25 litres d’eau/heure, soit plus de 1000 €/an. Pour éviter ces pertes, mieux vaut déceler les fuites et les réparer rapidement. Pour savoir qu’il y a des fuites dans votre maison, vous devez alors relever le compteur d’eau avant de vous coucher le soir, et ne rien utiliser jusqu’au matin pour pouvoir comparer la valeur obtenue avec celle du lendemain matin. Les chiffres obtenus devraient être semblables, mais si ce n’est pas le cas, on peut déduire qu’il y a des fuites, donc vous devez effectuer des vérifications et réaliser des réparations.

Évitez le gaspillage d’eau inutile

Pour économiser de l’eau potable, vous devez aussi éviter le gaspillage d’eau inutile. Vous devez notamment éviter de laisser couler l’eau inutilement, par exemple lorsque vous brossez les dents, lorsque vous faites la vaisselle ou lorsque vous prenez une douche. D’autre part, il est plus conseillé de faire un lavage de voiture dans une station, puisque cela ne nécessite qu’environ 60 litres d’eau, alors que si vous faites un lavage à domicile en utilisant un tuyau d’arrosage, vous devrez en utiliser au moins 200 litres.

Arrosez de manière maligne

Pour économiser de l’eau potable, utilisez de l’eau de pluie lorsque vous arrosez. En parallèle, au lieu d’utiliser un tuyau d’arrosage qui consomme plus d’eau, privilégiez un arrosoir. Puis, l’idéal est d’arroser moins fréquemment, mais plus abondamment pour humidifier en profondeur la terre. Pour un arrosage efficace, veillez à ce que la terre soit assez travaillée et meuble, car l’eau ruisselle et glisse sur le dessus quand la terre est tassée. Enfin, nous vous recommandons d’arroser en fin d’après-midi pour éviter le gaspillage d’eau causé par l’évaporation.

Qu’est-ce qu’un chauffage écologique ?

Comprendre ce que sont les systèmes de chauffage écologique est de mise. Il s’agit d’un appareil de chauffe avec un niveau de rendement optimal et qui permet tout de même de chauffer correctement les bâtiments.

Comme son nom l’indique, ils utilisent les énergies renouvelables et respectueuses de la nature pour fonctionner. Actuellement, ils se déclinent en plusieurs sortes.

Pour rappel, le remplacement d’un système de chauffe est nécessaire tous les 20 ans maximum. Ces travaux sont éligibles à quelques aides financières. Cela exige néanmoins la condition de faire appel à des artisans certifiés RGE pour s’en charger.

Un chauffage solaire

Comme chauffage écologique en vogue et facile à utiliser, vous avez entre autres le système électrique et solaire. L’énergie solaire est la plus utilisée en France. Cela est dû au fait que l’énergie solaire peut s’adapter à tous les besoins.

Pour pouvoir exploiter le pouvoir naturel du soleil, vous devez installer des panneaux solaires pour capter la chaleur qu’il émet. Cependant, il existe plusieurs techniques. Tout d’abord, il y a le chauffage solaire révolutionnaire solar clean.

Il y a également le système solaire combiné (SSC) dit Combi solaire. Vous pouvez également opter pour le système de chauffage du plancher solaire direct (PSD) ou encore pour le chauffage solaire d’appoint. Par ailleurs, il existe également le Chauffage solaire piscine.

L’énergie biomasse : comment ça marche ?

Vous pouvez également choisir le chauffage biomasse. Écologique et économique sont les maîtres-mots de ce système. C’est le fait d’utiliser les déchets organiques pour chauffer une chaudière.

Cette technique commence à être de plus en plus utilisée de nos jours. Elle est d’ailleurs éligible aux subventions de l’ANAH, à l’éco PTZ et plusieurs autres aides financières.

Il existe des spécialistes qui peuvent vous accompagner dans la transformation de vos déchets en sources d’énergies écologiques. Attention toutefois, l’installation des chaudières biomasses peut vous couter jusqu’à 20 000 euros. Tout dépend des équipements que vous achetez et des besoins que vous avez.

Se chauffer avec un PAC, c’est aussi possible

Pour le chauffage des bâtiments, de manière écologique, vous pouvez également opter pour la PAC. La Pompe à Chaleur peut aujourd’hui se décliner en trois sortes : aérothermique, géothermique et hydrothermique.

C’est-à-dire qu’elle peut utiliser l’énergie présente dans l’air, dans le sol ou dans l’eau afin de vous permettre de vous chauffer convenablement, et ce, sans mettre en danger la nature et l’environnement.

Ce système de chauffage est de plus en plus répandu actuellement. La PAC garantit une température homogène et optimale dans toutes les pièces de la maison.

Elle s’installe et s’adapte facilement avec un chauffage à radiateur. C’est un système à basse consommation qui est très simple à utiliser au quotidien. Cela vous fait économiser jusqu’à 75% sur votre facture de chauffage.

Des modèles plus compacts, et donc, plus simples à installer sont disponibles sur le marché actuellement. Mais au-delà de cela, vous devez choisir votre appareil selon ses performances, sa durabilité et son rendement.

Le meilleur conseil serait de tenir compte de son COP ou coefficient de performance pour vous assurer une économie d’énergie optimale. Les chauffagistes expérimentés peuvent notamment vous accompagner dans le choix de vos équipements et la réalisation de vos travaux.

Le chauffage à bois : un indémodable de l’aménagement d’intérieur

Enfin, comme chauffage écologique tendance et indémodable, vous avez le système à bois. Par-là, on entend entre autres les poêles. Les modèles sont actuellement plus stylés et plus performants.

À bûches, à bois, encastrable ou simplement à poser : à vous de choisir le type de chauffage qui saura se marier parfaitement à votre aménagement d’intérieur et à vos besoins. Le prix d’un tel équipement variera entre 800 et 1 000 euros, la pose n’est pas comprise.

Prisée aussi bien pour son design que pour sa simplicité, le chauffage à bois s’est taillé, depuis des années, une belle part de marché en France. C’est un système de chauffe avec un niveau de rendement optimal et qui peut vous durer des années.

Il est en plus très pratique, car il ne nécessite que peu d’entretien. Et pour le confort, c’est une bonne idée. Les poêles sont connus pour diffuser de manière homogène la même température dans toute la pièce. Sans compter qu’ils chauffent rapidement.

Bien choisir la qualité du thermos

Le choix du thermos est un aspect non négligeable si l’on souhaite faire des lunchs zéro déchet. C’est
un élément important, quel que soit le temps qu’il fait. Il est donc recommandé d’opter pour un
thermos capable de conserver l’aliment pendant au moins 6 ou 7 heures Il doit être assez grand pour
contenir la quantité de nourriture souhaitée. Lorsqu’il est bien choisi, il permet d’éviter le gaspillage
alimentaire en réduisant ainsi la production de déchets.

Opter pour un sac à lunch réutilisable

La plupart des gens utilisent leurs boîtes à lunch au moins 5 jours sur 7. Choisir un sac à lunch
pratique est une idée judicieuse, mais un sac à lunch réutilisable, c’est encore mieux ! Pour cela,
portez votre choix sur un sac isotherme dans lequel le thermos peut être maintenu verticalement.
Par ailleurs, les modèles dont l’intérieur est détachable sont plus faciles à nettoyer. Il existe
aujourd’hui des sacs de collations en tissu qui peuvent être réutilisés à souhait. Ils sont adaptés pour
des lunchs zéros déchets.

Utiliser des contenants recyclables

Utiliser des contenants réutilisables permet de réduire la fabrication de déchets. Le plus pratique est
d’avoir à sa disposition différentes tailles de ce type de contenant. Vous pourrez les changer tour à
tour au cours de la semaine. Vous avez le choix entre un bol en inox avec un couvercle ou un bol en
plastique. Cependant, pour des raisons écologiques, préférez le bol en inox. Ils ne libèrent pas de
toxines dans les aliments et n’absorbent pas les odeurs. Il pourra trouver une place dans votre boîte
à lunch. Il est en effet plus pratique de manger dans un bol que dans un thermos. Après avoir
renversé le contenu, vous pourrez manger directement dans le bol. Cela réduit aussi le risque de
brûlure si les aliments sont trop chauds.

Prévoir une des bouteilles d’eau réutilisables

C’est un élément essentiel de la boîte à lunch zéro déchet. Elle constitue une excellente alternative à
l’eau embouteillée. Au cours d’une journée, on est souvent amené à se désaltérer plusieurs fois. Pour
éviter certains désagréments, prévoyez donc une bouteille d’eau réutilisable à mettre dans votre
boîte à lunch. Plus on change de bouteille et plus il y a de production de déchets. Avec une bouteille
d’eau réutilisable, vous pouvez utiliser le même récipient toute la semaine. Il suffit de le nettoyer
chaque soir pour le lendemain. Vous pouvez choisir un petit contenant de 250 à 330 ml pour éviter
de surcharger la boîte à lunch.

Protège banane et poches à compote réutilisables

Pour les desserts, on préfère généralement les compotes faites maison. Les pochettes réutilisables
sont donc nécessaires pour limiter la production de déchets. Il en existe en différents formats et ils
sont facilement lavables après utilisation. À la place des pochettes, il est aussi possible d’utiliser de
petit récipient pour contenir les compotes. Vous pouvez en outre opter pour un protège banane si
vous devez transporter un fruit. Cela permet d’éviter que votre aliment ne soit écrasé pendant le
transport.

Opter pour les papiers pochettes réutilisables et les emballages naturels

Il existe aujourd’hui des emballages naturels et réutilisables faits à base de cire d’abeille (bee wrap).
Ce sont des emballages très pratiques et disponibles en plusieurs formats. Ils peuvent remplacer vos
rouleaux de papier ménage et peuvent durer très longtemps s’ils sont bien utilisés. Un emballage
naturel à base de cire d’abeille peut durer environ un an et demi s’il est bien entretenu. Ces
emballages pourront servir dans les lunchs. Comme pour les pochettes réutilisables vous pourrez y
glisser des cookies faits maison ou de petits gâteaux.

Préférer les ustensiles réutilisables

On retrouve sur le marché plusieurs couverts réutilisables adaptés à différents moments. Les
couverts placés dans le couvercle des thermos sont beaucoup trop sophistiqués. Optez plutôt pour
les ustensiles de tous les jours qui sont réutilisables après nettoyage. Il existe cependant d’autres
choix plus compacts et plus légers comme des ensembles d’ustensiles en métal ou en bois qui sont
repliables.

Utiliser une serviette en tissu

La serviette de tissu lavable est l’un des accessoires les plus importants de la boîte à lunch. Recourir à
une serviette évite d’avoir à utiliser quotidiennement d’un morceau de papier jetable dans la boîte à
lunch. C’est donc une excellente solution pour réduire la fabrication de déchets. Vous pouvez soit
utiliser de simples débarbouillettes ou fabriquer votre propre serviette avec d’anciens tissus. Il est
aussi possible d’en acheter dans un magasin.

Ces petites solutions vous permettront de faire des boîtes à lunch zéro déchet et tout à fait efficaces.

Les essentiels d’aujourd’hui, le développement durable et…

Le développement durable est une notion de croissance économique et sociale qui met en faveur la préservation de l’environnement. L’exploitation massive des ressources forestières, la déprédation excessive des espèces en voie d’extinction, la commercialisation outrée des espèces de végétation endémiques sont les principales menaces des activités anthropiques sur l’environnement. D’ici dix ans, l’accès en eau potable et en alimentation saine est encore inquiétant pour nos futures générations. Il s’avère ainsi urgent d’instaurer un développement de nouveau modèle rentable axé sur la rentabilité économique, l’impartialité sociale et la viabilité sur le plan environnemental. Ce sont les trois (3) piliers d’un développement durable soucieux du besoin des futures générations et aussi de l’environnement. La solidarité, la responsabilité et la précaution, ce sont les fondamentaux d’un développement durable.

… la préservation de la nature

Il n’est richesse que d’homme, mais de nature aussi ! Il n’y a aucun développement fiable sur le long terme à prévoir sans les ressources humaines et naturelles. Ainsi, la préservation de l’écosystème que ce soit terrestre, aérien ou maritime doit être au centre de tout projet de développement. Plusieurs possibilités sont envisageables pour préserver la biodiversité. Adopter un mode de vie écolo est prioritaire dans un programme de protection de l’environnement. Pour ce faire, il importe de privilégier les produits simples, mais efficients. Prioriser davantage les articles écologiques et bios comme les ampoules solaires, les plaques de cuisson photovoltaïque, utilisation des emballages recyclable, emploi des fournitures biodégradables, etc. La disparition progressive de certaines espèces animales et végétales peut engendrer des impacts néfastes sur l’environnement.

Think Global Act Local, l’éthique de la protection environnementale

« Pense global, agir local » ce concept résume parfaitement le développement durable et la préservation de l’environnement. Les petits gestes respectueux de la nature qu’on entretient au quotidien contribuent tôt ou tard à la protection de la planète.
Une gestion rigoureuse de déchet devrait être instaurée. À nos quotidiens, ce mode de vie se traduit par le tri sélectif des déchets ménagers, tout en catégorisant les recyclables du biodégradable. Favoriser l’agriculture naturelle et planifier un plan de reboisement intensif réservent des impacts positifs tant pour la protection du sol que pour l’océan. Oui, l’océan. Le saviez-vous ? Les produits chimiques utilisés dans l’agriculture industrielle sont emportés par le ruissellement et finiront par se déposer dans l’océan et polluent l’écosystème marin. Une forte raison pour laquelle certains produits de mer entrainent une intoxication alimentaire due à l’absorption des constituants chimiques.
Donner du temps au renouvellement des ressources exploitables est important pour préserver la continuité de l’espèce. La protection et la préservation de l’environnement sont une affaire de tout le monde.

Augmenter le nombre des espaces verts

Les plantes et les arbres apportent de la fraîcheur. Dans les grandes villes, il y a peu d’endroits où il est encore possible de profiter de la nature sereinement sans être envahi par les fumés d’échappement des voitures. Il est donc important que les communes envisagent la création de nouveaux espaces verts avec des plans d’eau pour plus de fraîcheur. La création d’un lac naturel pourrait avoir un impact sur la température.. Chaque foyer devrait également avoir un jardin verdoyant pour augmenter la fraîcheur de l’environnement urbain.

Limiter les pollutions pour minimiser les émissions à effet de serre

Différentes raisons favorisent le réchauffement climatique. Les principaux facteurs de pollution dans les grandes villes sont les gaz d’échappement. Presque toutes villes françaises souffrent des pics de pollution, mais la plus touchée c’est la capitale. L’écran de fumée favorise également l’augmentation des températures de quelques degrés. Pour y remédier, il est, de ce fait préférable, de minimiser l’utilisation des véhicules à moteur dans les centres-ville. L’utilisation des transports en commun ou encore le covoiturage sont des meilleurs alternatifs à prendre en compte pour réduire la pollution. Il faut également limiter l’utilisation des climatiseurs individuels. Ces équipements produisent des gaz à effet de serre.

Utiliser des matériaux de construction adaptés

Pour réduire les pics de chaleur, il est également important d’envisager de nouvelles méthodes de construction plus respectueuse de l’environnement. Il faut employer des matériaux réfléchissants qui n’ont pas la capacité d’ingérer les rayons du soleil. Ils apportent un peu de fraîcheur à l’intérieur d’appartements.
La végétalisation des immeubles constitue également une meilleure alternative pour apporter plus de fraîcheur à l’intérieur de sa maison. En permettant aux plantes de prendre racine directement sur le toit, celles-ci permettent de diminuer la température à l’intérieur de la maison.
Il est également primordial de penser aux systèmes d’isolation. Cela réduira l’utilisation des appareils de chauffage, dont la plupart émettent des gaz à effet de serre.

Les avantages du panneau solaire thermique

L’avantage économique que procure le panneau solaire thermique à air repose sur le fait qu’il réchauffe votre intérieur en recourant non pas à l’électricité, mais au rayonnement du soleil. Vous réduirez ainsi grandement votre dépendance à l’énergie fossile. De ce fait, votre facture de chauffage diminuera. Le panneau solaire est tant avantageux pour votre portefeuille que pour la planète. Vous n’êtes pas sans savoir que plus vous consommerez d’énergie solaire, moins vous risquerez de dégrader notre environnement. On retrouve donc le côté écologique de votre investissement. Non seulement vous aurez une source inépuisable, mais en même temps non polluante. Qui ne nécessite aucun coût de transport.

Puis, il n’y a pas à vous inquiéter sur le panneau solaire en termes de confort, car il procure le même confort que tout autre type de chauffage non solaire.

Un autre avantage du panneau solaire thermique est qu’il peut se placer partout. Enfin, il nécessite peu d’entretien. En effet, s’il n’a pas déjà été nettoyé par la pluie, un coup d’éponge mouillée avec de l’eau déminéralisée fera bien l’affaire.

Quel panneau solaire thermique choisir ?

Vous devez avant tout évaluer vos besoins : en eau chaude sanitaire et en chauffage intérieur. Cette évaluation vous permettra de définir à quel besoin va répondre votre panneau solaire. Il faut l’avouer, l’installation d’un panneau solaire thermique est un peu coûteuse. Mais il ne faut pas oublier que c’est un investissement à long terme, dont les avantages sont palpables très rapidement. Vous aurez le choix entre les panneaux solaires thermiques capteurs plans, capteur plans vitrés, capteurs tubulaires sous vide, capteurs monobloc ou capteur vidangeables.

Avant d’installer votre panneau solaire, il faudrait demander à un professionnel d’effectuer une étude technico-économique sur la possibilité d’installer un panneau chez vous, pour s’assurer que cela conviendrait à votre domicile ou non. Aussi, il vous conseillera l’emplacement idéal des panneaux solaires. Pour que l’installation soit bien faite, pensez également à la confier à un professionnel. Priorisez les professionnels près de chez vous. Ainsi, en cas de panne ou pour une question de maintenance, ils peuvent se déplacer rapidement et peut-être même gratuitement.