Recycler les déchets

La majorité des autorités dans les communes se sont tournées vers le recyclage des déchets pour des raisons environnementales. Cette option permet de transformer les déchets afin d’éviter la détérioration de l’environnement. Vous pouvez alors confier vos ordures à une entreprise d’assainissement pour qu’elle s’occupe du recyclage. D’un autre côté, il ne faut pas jeter les objets cassés. En effet, ils peuvent être réparés dans certains cas. Pensez aussi à vérifier l’épaisseur des emballages sur les produits que vous achèterez.

Réduire l’usage des produits toxiques

Notez que de nombreux produits peuvent être dangereux pour la santé de l’environnement. Il faudra alors penser à réduire l’usage de ces types d’articles en commençant par lire leurs étiquettes avant de les acheter. Cela permet de vérifier le taux de matière chimique dans leurs contenus ou sur leurs emballages. Pensez aussi à utiliser des produits naturels pour nettoyer la maison. Évitez également de jeter les appareils électroniques ainsi que leurs accessoires quand ils arrivent en fin de vie.

Choisir des moyens de déplacement écologiques

Même les moyens de déplacement peuvent avoir un impact sur l’écologie. En effet, certains véhicules peuvent détériorer l’environnement tout comme certains engins motorisés. Ainsi, les trains sont plus judicieux pour les trajets de longues distances. D’un autre côté, vous pouvez privilégier les déplacements à pied tant que c’est possible. Sinon, l’achat d’un vélo comme moyen de déplacement est une option très intéressante. Il ne faut pas hésiter à partager le véhicule avec des tiers quand c’est possible. Cela vous évitera de sortir la voiture et diminuera la pollution de l’environnement.

Revoir la culture dans le jardin

Vous aimez prendre soin de votre jardin ? Dans ce cas, il faut penser à limiter l’utilisation de pesticides. Ces produits peuvent être, effectivement, dévastateurs pour l’homme et les animaux ainsi qu’à l’environnement. Notez que vous pouvez toujours utiliser des techniques naturelles pour assurer la culture de votre jardin. D’ailleurs, certains forums peuvent vous aider et vous conseiller sur la manière de prendre soin de votre culture. Il est aussi recommandé de choisir des plantes qui ne demandent pas beaucoup d’eau pour les nouvelles cultures.

Pourquoi les abeilles sont vitales à notre survie ?

Les abeilles assurent la pollinisation de près de 75 % des cultures destinées à notre alimentation. Sans elles, fruits, légumes et fleurs disparaîtraient peu à peu en plus de l’effondrement de nombreux écosystèmes. Ces insectes jouent un rôle central dans la biodiversité puisqu’ils favorise nt la reproduction de milliers d’espèces végétales qui nourrissent les animaux et entretiennent les sols. Leur déclin représente donc une menace directe pour notre environnement et notre sécurité alimentaire.

La disparition des colonies s’accélère depuis plusieurs décennies

Pesticides, parasites, perte d’habitats et dérèglements climatiques fragilisent ces pollinisateurs essentiels. Heureusement, des initiatives locales et engagées montrent qu’un autre modèle est possible. Parmi les acteurs engagés, il y a le site de vente en ligne 1001 Abeilles dont le fondateur est déterminé à préserver les abeilles et à sensibiliser le grand public à leur rôle écologique. Cette entreprise parraine chaque année deux mille abeilles. Ce parrainage stimule directement la vitalité des colonies. L’entreprise conçoit et fabrique aussi des produits écologiques. Ses Bee Wraps, par exemple, fabriqués en France et certifiés Bio et Ecocert, remplacent le film plastique. Ces emballages eco-friendly réduisent les déchets plastiques et leur utilisation s’intègre à un mode de vie respectueux de la planète. L’enseigne collabore avec des apiculteurs locaux, installe des ruches sur ses terrains et forme ses équipes à l’apiculture. Elle encourage la création de zones de biodiversité et limite l’usage de produits nocifs pour les abeilles. Elle organise des ateliers pédagogiques et soutient la recherche scientifique sur la santé des abeilles.

Les causes de leur disparition : un cocktail de menaces

Le déclin des abeilles résulte d’une combinaison de plusieurs causes. L’usage intensif des pesticides néonicotinoïdes affecte leur système nerveux, entraînant une désorientation et leur incapacité à retrouver la ruche. Les monocultures appauvrissent la diversité florale et réduisent les sources de nourriture disponibles. À cela s’ajoutent les maladies comme la varroose, provoquée par un acarien parasite, et les virus transmis entre colonies. Le changement climatique accentue encore ces difficultés. Des hivers plus doux favorisent la prolifération des parasites, tandis que des printemps instables perturbent les cycles de floraison. Enfin, l’urbanisation réduit les zones sauvages où les abeilles peuvent butiner et nidifier. Ces situations font planer une menace sur les pollinisateurs, mais aussi sur l’ensemble de la chaîne alimentaire naturelle.

Que faire pour les protéger ? Un combat qui concerne tout le monde

On a tendance à se focaliser sur la disparition des animaux sauvages. Pourtant, les insectes sont eux aussi en danger. La protection des abeilles passe par des gestes simples mais remarquablement efficaces. La première étape consiste à bannir les produits chimiques dans les jardins et à privilégier les solutions naturelles pour soigner et entretenir les plantes. Vous pouvez aussi soutenir les apiculteurs locaux en achetant du miel issu de ruches respectueuses de l’environnement. Ces choix encouragent le développement d’une apiculture durable et participent à la sauvegarde des colonies. Par-dessus tout, offrir un refuge aux abeilles est l’une des initiatives les plus concrètes en faveur de leur protection. Plantez des fleurs mellifères comme la lavande, le trèfle, le romarin ou le tournesol, qui leur fournissent nectar et pollen. Installez des abris à insectes où seront accueillies les espèces solitaires. Parlez-en autour de vous : la sensibilisation accélère le changement. Enfin, soutenez les initiatives éducatives et associatives qui œuvrent pour la biodiversité. Protéger les abeilles, c’est une action, un engagement en faveur de la vie, de la nature et de notre futur commun.

Un petit poisson commun

La gambusie (Gambusia affinis) est un tout petit poisson d’à peine trois centimètres qui pullulait dans les moindres points d’eau jusqu’à un passé récent. Ce poisson ne nécessite aucun soin particulier pour se développer, se nourrir, ou se reproduire. On le trouve encore facilement dans la plupart des rivières, ainsi que dans les étangs, les rizières et les eaux stagnantes diverses. Les paysans se posent souvent la question de savoir d’où vient ce petit poisson prolifique. Beaucoup d’entre eux l’attribuent aux excréments d’oiseaux comme les aigrettes et autres martins-pêcheurs.
Deux types coexistent à Madagascar, une espèce autochtone plus petite et une espèce introduite. Les Malgaches l’appellent indistinctement « pirina ». Ce poisson est fort apprécié, frit ou en sauce. Il est aussi souvent mis à sécher tel quel pour être conservé et transporté partout. En effet, il est plus rare en saison hivernale à cause de la sécheresse des points d’eau, mais aussi d’une moindre faculté d’adaptation au froid.

Un poisson qui disparait lentement

Mais l’avantage important de ce poisson est son régime omnivore. Il peut se nourrir en particulier de larves de moustiques et constitue à ce titre un moyen de lutte biologique contre le paludisme et sa variante, la dengue. Il peut s’adapter à des eaux assez polluées.
Son cycle de reproduction court lui permet de vivre et de se reproduire dans les rizières, avant l’assèchement de celles-ci. Actuellement, la gambusie devient de plus en plus rare, surtout autour des grandes agglomérations. Les raisons en sont : principalement la pollution trop importante de l’eau et la pêche inconsidérée, aggravée par la prolifération d’un poisson vorace, le Channa maculata (« fibata »). En plus, il y a la réduction des plans d’eau et des oiseaux au profit des terrassements et constructions. Enfin, le rejet de pesticides dans l’eau contribue à éliminer ces poissons.
Comme pour les autres poissons, il y a probablement lieu de réensemencer les plans d’eau pour les repeupler.

Choisir des poubelles de tri avec des codes couleur et pictogrammes

Le tri sélectif est certes un petit geste, mais il a un grand impact pour votre entreprise. Pour inciter vos collaborateurs à pratiquer le recyclage et ainsi booster la conscience verte dans votre société, installez des poubelles de tri sélectif dans votre entreprise. Optez pour des contenants repérables avec des codes couleur comme :

• Le jaune : il indique généralement que la poubelle est faite pour recevoir les emballages, les bouteilles, les flacons en plastique et les canettes en métal.
• Le vert est pour les bouteilles en verre.
• Le bleu c’est pour les papiers et les cartons.
• Le noir ou le gris est pour les déchets ménagers et non recyclables.

Outre les codes couleur, les bornes de tri sélectif doivent aussi comporter des pictogrammes. Grâce aux symboles clairs qui s’y trouvent, vos collaborateurs peuvent trier au mieux les produits qu’ils jettent. Vos équipes comprendront ce qu’on attend d’eux en un seul coup d’œil.

Adapter les contenants aux espaces professionnels

Quelle que soit l’activité de votre structure, elle est concernée par l’obligation de tri à la source des déchets qu’elle génère. C’est pourquoi vous devez placer un peu partout dans votre entreprise des poubelles de tri sélectif :

• Dans les bureaux : vous pouvez choisir des bornes à usage individuel qui permettent d’accueillir un petit volume de produits et de les séparer correctement.
• Dans les espaces communs comme dans la salle de restauration, la salle de réunion, les entrées et les couloirs : vous pouvez placer des bacs à usage collectif pour recevoir les mégots de cigarettes, les biodéchets, les gobelets et matériaux en plastique ainsi que les flacons en métal. Assurez-vous qu’ils soient bien visibles pour guider les utilisateurs et réduire les erreurs de tri.
• Dans les ateliers ou les zones de production, vous avez besoin de collecteurs plus robustes. Ils conviennent aux déchets spécifiques comme les cartouches d’encre, les piles, les batteries, les médicaments périmés et même les appareils multimédias que vous n’utilisez plus.

Penser au design des poubelles et à leur intégration dans vos locaux

Lorsque vous sélectionnez des poubelles de tri sélectif en entreprise, vous devez considérer leur design et leur ergonomie. Vous pouvez orienter votre choix vers des bacs en bois très esthétique qui ne gênent pas visuellement et qui s’intègrent parfaitement dans des environnements professionnels modernes. Vous n’avez plus ainsi à les cacher dans un coin et les utilisateurs peuvent les détecter facilement. Ils ne comportent pas non plus de plastique et sont entièrement recyclables ce qui réduit votre empreinte carbone. Enfin, ils allient efficacité et hygiène. Bref, les poubelles en bois vous aident à maintenir la propreté dans vos locaux tout en séparant correctement vos déchets.

Une harmonie entre l’homme et son environnant

Depuis quelque temps, la prise en compte des dégâts environnementaux et la technique de l’écologie ont conduit les gens à changer leurs comportements d’où la naissance de l’écopsychologie. L’écopsychologie est le fruit d’un croisement entre la psychologie, l’écologie et la philosophie environnementale. Quand les individus prennent conscience de l’importance des techniques écologiques, les êtres humains étudient les résultats de leurs comportements. L’écopsychologie est alors une alternative pour changer les comportements et les habitudes des gens, pour les pousser à respecter l’environnement et à prendre en compte les systèmes écologiques. Ce principe est facile à saisir, mais l’étude de la science du comportement est assez complexe.

Les impacts sur le comportement des individus

Les solutions pour faire face à la crise de l’écologie se trouvent souvent à l’intérieur qu’à l’extérieur. Sans s’en rendre compte, les incitations pour l’écologie qu’on entend à longueur de journée peuvent interférer sur le comportement. Une fois que vous connaissez l’importance de votre participation pour la préservation de l’environnement, votre manière d’agir et votre conscience changent et avancent vers la pratique de l’écologie. On n’est pas seulement lié au physique par la nature, mais on y est aussi attaché psychologiquement. À l’intérieur de nous, on sait que la nature est mal en point, mais peu d’entre nous connaît sa souffrance. Les manifestations et les incitations pour l’application des gestes écologiques permettent à chaque personne d’adopter des nouveaux comportements. Par exemple, les hôtels sont désormais devenus des participants actifs à l’écologie. Ils ont adopté des techniques pour moins gaspiller l’eau, à la suite, les clients respectent ces règles et peuvent l’adopter.

Faire un geste pour l’environnement

L’idée à garder en tête quand il s’agit de protection environnementale est que sans un environnement favorable pour subvenir aux besoins d’une espèce, sa pérennité est remise en question. Il en est de même pour l’homme. En effet, l’environnement constitue le principal fournisseur de l’homme, en termes de nourriture et d’eau potable, mais aussi d’autres produits qui lui est vital. La nature procure les conditions nécessaires à notre développement ainsi qu’à notre survie (oxygène, couche d’ozone, gaz utile, les plantes médicinales, électricité, etc.). De ce fait, faire un geste pour l’environnement, c’est essayer de préserver la qualité de ce dernier. Et il faut savoir que la responsabilité appartient à chacun de nous, et il ne faut pas attendre des responsables haut placés pour se lancer dans les actions pour l’environnement.

Protéger l’environnement, une action à la portée de tous

Plusieurs grandes campagnes de sensibilisation pour la préservation de l’environnement sont actuellement mises en place un peu partout dans le monde afin d’inciter la population à protéger son environnement. Cependant, il n’est pas obligatoire d’avoir un financement énorme pour agir contre la dégradation de ce dernier. À travers des gestes simples au quotidien, nous pouvons essayer de faire pencher la balance dans l’autre sens. La première chose à faire est de penser à limiter la consommation d’eau. En effet, on ne le dit jamais assez, mais le bain doit rester occasionnel pour ne pas gaspiller l’eau. Il en est de même pour le lavage de voiture. Ensuite, des petites actions faisables au quotidien doivent aussi permettre de réduire le gaspillage de l’électricité. Ce n’est pas qu’une question d’économie, mais éteindre la lumière en sortant d’une pièce, ou préférer des ampoules recyclables contribue déjà à réduire notre consommation en électricité. Après, le concept « donné une deuxième vie aux produits » est devenu une vraie tendance écologique. Il s’agit en autre, du principe du recyclage. Adopter cet état d’esprit permet aussi de diffuser les bonnes pratiques aux enfants qui vont finir par en faire de même. Et pour terminer, on peut aussi diminuer l’utilisation des voitures ou tout autre moyen de transport qui fonctionne à l’énergie thermique. Un peu de marche ou faire les trajets en vélo est bon pour la santé, mais aussi pour l’environnement. On peut aussi virer vers l’utilisation de moyen plus écologique comme les voitures électriques.

La protection de l’environnement à grande envergure

La protection de l’environnement est souvent considérée comme frein au développement économique d’un pays. La première responsabilité incombe donc, au gouvernement pour éviter cette pensée négative. De ce fait, pour avancer dans ce sens, il est essentiel de trouver une solution afin d’inclure le volet environnement dans le processus de développement. Ensuite, agir afin de l’intégrer dans le développement durable du pays et des entreprises. Puis, les grandes entreprises doivent également y mettre des leurs, notamment en renforçant les projets en matière de RSE ou de la Responsabilité Sociétale de l’Entreprise. Dans ce cas, chaque projet devrait-être mis à l’étude avant toute validation, surtout dans les pays en voie de développement, où beaucoup d’actions ne sont pas réglementées. Enfin, il faut renforcer les actions déjà connues de tous comme la reforestation, l’exploitation durable des forêts, l’amélioration de la fertilité des sols, l’optimisation de la production dans les zones arides, etc.

Eviter toute forme de gaspillage

Le geste le plus simple qui ne coûte rien et qui est applicable à tout moment, c’est d’éviter toute forme de gaspillage. Que vous soyez chez vous, au bureau ou dans la rue, il est toujours possible de n’utiliser que le strict nécessaire pour réaliser n’importe quelle tâche : n’utilisez pas plus d’eau qu’il n’en faut pour faire la vaisselle, ni plus de papier qu’il n’en faut pour écrire, etc.

Favoriser le naturel et la consommation bio

Le principe de l’écologie, c’est de laisser la vie suivre son déroulement naturel avec une harmonie parfaite des éléments qui constituent l’environnement. Si vous voulez agir en bon écolo, vous devez alors veiller à ne pas endommager de quelque manière que ce soit tout ce qui vous entoure.
Ce que la nature a du mal à supporter, c’est de vivre avec des éléments dont elle n’a pas procuré naturellement les ressources. L’exemple le plus concret, c’est le plastique, et c’est la raison pour laquelle elle prend tant de temps à le dégrader. Pour l’aider, il est alors recommandé de favoriser le naturel et de consommer en tant que possible des produits bio.

Adopter de bonnes habitudes au quotidien

Devenir un bon écolo nécessite d’adopter des habitudes en faveur de la biodiversité et de la nature dans tout son ensemble. Dans un monde en pleine « évolution » où tout nous est fourni, ce n’est peut-être pas très évident d’essayer de vivre avec le strict nécessaire, mais ça se travaille et ce sont les petites victoires personnelles qui deviendront des habitudes à force de persévérance.

Sensibiliser et interagir avec son entourage

Il va sans dire que l’être humain fait partie de l’écosystème et en est le principal acteur. Un bon écolo se doit alors d’être solidaire avec son entourage et de l’inciter à adopter les bonnes habitudes et mesures pour conserver la nature et envisager un développement durable.

L’extermination par les insecticides

Cette abeille se choisit naturellement un abri pour son essaim : dans les troncs d’arbre creux, dans les anfractuosités de rochers ou dans d’autres endroits naturellement protégés. Mais pour nourrir l’essaim, elle butine jusqu’à des kilomètres à la ronde où elle coexiste avec divers autres insectes. Parmi ces insectes, des espèces grégaires destructrices de végétation sont combattues vigoureusement avec des produits chimiques à forte résilience. Hélas, le traitement ne fait pas de distinction et les abeilles en font les frais, aussi bien les ouvrières qui subissent directement les pulvérisations que celles qui transportent les gouttelettes de produit déposées sur les fleurs avec le pollen dans la ruche. Celles qui ne meurent pas directement contaminent ainsi les larves et le miel.

La maladie du varroa

Par ailleurs, l’abeille autochtone malgache est une variété caractérisée par son endémicité. Elle est peu résistante face aux maladies qui déciment les ruches étrangères. Or, depuis quelques années, elle est en contact avec des abeilles étrangères introduites intempestivement et est désormais contaminée par le varroa, le « vampire de l’abeille ». Elle est d’autant plus sensible à cette maladie qu’elle est affaiblie par le traitement insecticide ci-dessus.

Des impacts économiques

Il s’ensuit une réduction importante de la production de miel dans les régions d’infestation de criquets. La réduction de la quantité des abeilles pollinisatrices limite ipso facto la fécondation des plantes et la production agricole.
Ironie du sort, l’embargo sur le miel malgache est levé quand les facteurs de production sont dans ce contexte défavorable. L’exportation peine à atteindre une cinquantaine de tonnes après avoir été à plusieurs milliers dans les années cinquante.
Une opportunité économique est en train de refaire péniblement surface sans qu’une solution pérenne ne soit pour le moment évidente.

L’efficacité énergétique

Le plancher chauffant sec mince possède une excellente efficacité énergétique. Contrairement aux radiateurs classiques qui chauffent principalement l’air, ce système chauffe directement les surfaces et les objets dans la pièce. Il se produit une diffusion homogène de la chaleur et une réduction des pertes thermiques. Voilà de quoi vous inciter à découvrir cette solution innovante ! La faible épaisseur des planchers (les meilleurs se situent entre 19 mm et 20 mm) permet une montée en température très rapide. Il n’y a donc pas de préchauffage énergivore. De plus, la chaleur est produite au plus près du sol, là où elle est la plus utile. Résultat, les déperditions vers le plafond sont pratiquement inexistantes. L’efficacité est maximale dans les pièces bas de plafond.

Faible consommation énergétique

Grâce à son efficacité énergétique, la consommation d’énergie d’un plancher chauffant sec mince est faible par rapport aux systèmes de chauffage conventionnels. Les économies d’énergie dépendent de la solution et les configurations, mais dans tous les cas elles sont très intéressantes. Cette réduction de la consommation énergétique se traduit directement par une diminution des émissions de gaz à effet de serre liées au chauffage. Les occupants de la maison contribuent donc à la lutte contre le changement climatique.

Alchimie avec les énergies renouvelables

Le plancher chauffant sec mince fonctionne à basse température. Vous ne risquez donc pas d’être victime d’une surchauffe au sol. En clair, vous n’allez pas vous brûler la plante des pieds lorsque vous marcherez dessus. En raison de cette basse température, ces planchers sont compatibles avec les sources d’énergie renouvelable : pompes à chaleur, panneaux solaires thermiques, géothermie, etc. Une utilisation complémentaire est donc envisageable. C’est même recommandé par les écologistes convaincus. En effet, cette synergie optimise l’exploitation des énergies propres et réduit encore plus l’empreinte carbone du système de chauffage.

Du solide

La robustesse du plancher chauffant sec mince lui confère une durée de vie remarquable. Cette longévité réduit le besoin de le remplacer régulièrement. La production de déchets liés à la fabrication de cette solution de chauffage est donc très faible. De plus, les matériaux utilisés sont généralement recyclables en fin de vie.

Un faible besoin en matériau

L’installation d’un plancher chauffant sec mince nécessite beaucoup moins de matériaux que celle des systèmes de chauffage hydrauliques traditionnels (plancher chauffant hydraulique classique). Il n’y a pas besoin de tuyaux, de chape en béton ou de grandes quantités de fluide caloporteur. Cette économie de matières premières réduit également l’impact environnemental de cette solution de chauffage et de revêtement du sol. Il y a par exemple peu de transport de matériaux.

D’autres avantages

Le plancher chauffant sec mince ne nécessite aucun fluide caloporteur. Il n’y a pas de risques de pollution des sols ou des nappes phréatiques que d’éventuelles fuites de fluide auraient engendrée. Enfin, la qualité de l’air intérieur est excellente avec ce dispositif : vous n’avez pas besoin de recourir à un purificateur d’air.

Les caractéristiques de chaque offre

Il faut bien faire la différence entre ces deux offres pour ne pas vous emmêler les pinceaux. Les offres d’électricité à prix fixe garantissent un tarif constant du kWh pendant la durée du contrat. Ce dernier est généralement en vigueur entre 1 an et 3 ans. Sur cette période, le tarif ne change pas, même si les prix du marché fluctuent. En revanche, dans les offres à prix variable, les tarifs du kWh applicable changent en fonction des variations du marché de l’électricité. Ils dépendent souvent des tarifs réglementés ou des prix du marché de gros.

Avec une offre à prix fixe, les consommateurs ont une visibilité sur leurs dépenses mensuelles. Ils bénéficient également d’une protection contre les hausses de prix. Le contre-pied de cet avantage c’est qu’ils ne profitent pas des éventuelles baisses de prix. À l’inverse, les offres à prix variable permettent de tirer parti des baisses de tarifs, mais exposent aussi les clients aux risques d’augmentation. Le choix entre les deux dépend des priorités de chacun : sécurité et prévisions budgétaires ou économies.

Les profils de consommateurs adaptés à chaque offre

Les consommateurs qui privilégient la sécurité budgétaire devraient opter pour une offre à prix fixe. Ce dernier est particulièrement adapté aux ménages avec des revenus modestes ou fixes, et qui, par conséquent, ont besoin de maîtriser leurs dépenses énergétiques. Les familles nombreuses, les personnes âgées et les individus, dont le budget est serré, apprécieront de pouvoir prévoir le montant des factures.

En revanche, les consommateurs ouverts à une certaine prise de risque peuvent choisir une offre à prix variable. Les ménages aisés, dont les fluctuations de prix n’ont pas d’impact négatif sur leurs finances, peuvent y trouver un intérêt financier. Les personnes disposant de connaissances sur le marché de l’énergie et qui suivent son évolution sont également de bons candidats. Enfin, ceux qui souhaitent soutenir le développement des énergies renouvelables, souvent associées à des prix variables, y trouveront un avantage écologique.